Ce n'est ni encore une insurrection, mais un début de révolte ou de très vif mécontentement citoyen !
Nos élus, élus du peuple, mesurent-ils bien, d'un côté la profondeur de la résolution et de la détermination qui est la nôtre (qui y était ? Je n'y étais pas puisque c'est plutôt les Goudes qui "vivent" l'embouteillage) pour dire non.
L'exaspération se nourrit de l'ignorance manifeste pour n'avoir pas anticipé les obstacles à cette spéculation immobilière parachutée sans la mise en condition préalable du contexte topographique d'un cul-de-sac à la fois de vie locale et de tourisme estival ?
Lorsqu'on envisage un lotissement il faut avoir au préalable défini les accès, la voierie, l'eau et l'électricité et tout le reste. Voire même une maternelle de plus et extension des écoles publiques concernées ?
Une grosse résidence de plus ne modifie pas que le secteur circonscrit au bâtiment lui-même mais de tout le quartier. C'est un corps vivant global et non une "simple" constrution de plus ! On apprend ça en géographie urbaine !
La campagne Pastré par héritage-donation à la Ville de Marseille comporte une condition d'interdiction absolue de modification de son périmètre, d'amputation et de construction. C'est très bien !
Comment se fait-il qu'une autorisation de construire une voie dans Pastré ait été accordée sans vérification des conditions préalables à respecter et...à connaître puisque la revendication du constructeur comporte apparemment une emprise du parc Pastré ? Qui a pu laisser entendre un tel arrangement ? Que font nos élus ?
Obéissent-ils à leurs électeurs-trices ou au lobby du bâtiment ?
Bonne lecture.
Michel-le-détecteur de gros potin local, membre du CIQ de Bonneveine par adhésion collective du Conseil syndical dont nous sommes donc tous membres. Je reçois même une carte d'adhérent sans avoir jamais versé de cotisation....Et vous ?
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